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dimanche 26 avril 2015

Mauritanie: le dossier Maurisbank devant la Cour Suprême

 Mauritanie: le dossier Maurisbank devant la Cour Suprême

Mauritanie: le dossier Maurisbank devant la Cour Suprême
Financial Afrik - Le collectif des avocats de la défense d’Ahmed Ould Mogueya, PDG de laMaurisbank (finance islamique), incarcéré à titre préventif depuis le 15 janvier dernier, parallèlement à la procédure de mise en liquidation de l’institution, mène actuellement une rude bataille pour lui permettre de bénéficier d’une mesure de libération provisoire en attendant un possible non lieu ou un éventuel procès. 

Ainsi, après le double rejet de la requête de la défense allant dans ce sens par le juge d’instruction, puis la chambre d’accusation de la cour d’appel de Nouakchott, s’appuyant sur « la gravité des faits » pour maintenir leur client en détention, maîtreMoulaye El Ghali et ses confrères ont saisi la cour suprême. 

Toutefois, la haute juridiction doit encore attendre avant de pouvoir statuer en référé sur l’affaire. En effet, le Parquet Général a demandé le dossier « pour communication ».




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Source : Financial Afrik
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vendredi 3 janvier 2014

En 2013, les milliardaires sont devenus plus riches : qui sont-ils ? - [Video]



En 2013, les milliardaires sont devenus plus riches : qui sont-ils ? - [Video]L'agence Bloomberg a publié jeudi son palmarès 2013 des plus grosses fortunes mondiale. Et c'est Bill Gates, le patron de Microsoft, qui prend la tête du podium.
La crise n'est pas pour tout le monde et 2013 aura même plutôt été une bonne année pour les riches... C'est ce que révèle l'agence américaine Bloomberg qui établit chaque année le classement des plus grosses fortunes mondiales.

Le classement 2013 rendu public ce jeudi montre que les fortunes des 300 milliardaires cumulées s'élèvent à 3.700 milliards de dollars, soit plus de 500 milliards de plus qu'en 2012.



Et le gagnant du classement est... l'Américain Bill Gates qui devient la plus grosse fortune du globe avec un portefeuille de 78,5 milliards de dollars grâce à son entreprise Microsoft qui a connu un bond de 40% de son titre en bourse l'an dernier.

Il repasse ainsi devant le propriétaire du géant mexicain des télécoms Carlos Slim. Amancio Ortega, le créateur de la marque de vêtements Zara, se classe en troisième position.

En France, Liliane Bettencourt qui se place 15e au rang mondial, reste la plus riche du pays avec ses 25 milliards d'euros. Elle est suivie de près par les hommes d'affaires Bernard Arnault, propriétaire du groupe LVMH, et François Pinault, PDG du groupe Kering.

Et les riches devraient continuer de bien se porter puisque selon le milliardaire John Catsimatidis : "Les riches vont continuer à s'enrichir en 2014".




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mercredi 28 novembre 2012

Arrestation de Wane Abdoul Birane


Le coordinateur de Touche Pas à Ma Nationalité (TPMN), Wane Abdoul Birane a été arrêté aux environs de 12h30 par la police suite à une manifestation. TPMN comptait faire une marche de la Polyclinique jusqu’à la présidence de la république pour remettre une lettre au président de la république Mohamed Abdel Aziz.

Mais les militants de TPMN se sont heurtés aux forces de l’ordre qui les ont violemment dispersés à coups de bombes lacrymogène. Selon les informations recueillies auprès de TPMN, une personne a été blessée lors de cette manifestation.

Dés le matin, les forces de l’ordre se sont déployées sur le carrefour de la polyclinique où était prévu le départ de la marche.





TPMN réclame à Ould Abdel Aziz de faire "la lumière sur les atrocités qui ont frappé la communauté négro-mauritanienne"

A l’initiative de Touche pas à ma Nationalité, des centaines de mauritaniens étaient rassemblés mardi 27 novembre à El Mina près de la mosquée du Qatar pour commémorer les martyrs d’Inal pendus dans la nuit du 27 au 28 novembre 1990.

Une occasion également de rendre hommage à Abou Fall, dont la main droite a reçu une grande lacrymogène le 28 novembre 2011 lors d’une manifestation pour commémorer les martyrs d’Inal, au jeune Lamine Mangane, tué par balle, le 27 septembre 2011 à Maghama, alors qu’il protestait contre le recensement.

Pour Wane Abdoul Birane, ce n’est pas le moment de laisser le soufflet retomber en ce qui concerne le volet judiciaire du passif humanitaire. "Nous exigeons plus que jamais l’abrogation de la loi d’amnistie de 1993 et le jugement des criminels", a déclaré le coordinateur du Mouvement Touche pas à ma Nationalité. ".

"Qu’on ne se trompe pas : nous continuons à être opprimés par l’Etat mauritanien", a-t-il ajouté, dénonçant les répressions de 1986, 1987, 1989, 1990 et 1991 sous le régime de Mâaouiya Ould Sid’Ahmed Taya.

Ba Mamadou Alassane a souligné quant à lui la nécessité pour les partis politiques tels que le PLEJ, l’AJD/MR d’Ibrahima Moctar ou encore le MPR de Kane Hamidou Baba de se réunir autour d’une alliance forte capable de défendre les intérêts de la communauté noire. Il a en effet indiqué qu’il était prêt à "se fondre" dans cette coalition et à "suivre" celui qu’on placerait à la tête.

Abdel Vetah, qui est le coordinateur du Mouvement du 25 février, en a appelé, lui, à "une synchronisation des idées", au vu de la situation actuelle qui prévaut en Mauritanie, pour faire face à ce mur "d’injustice et de discrimination" qui s’élève devant tous les Mauritaniens sans exception. "Vous n’êtes pas les seuls qui sont concernés. Nous devons donc tous unir nos forces pour arriver à imposer une Mauritanie libre", a martelé Abdel Vetah.

C’est par des cris de "Mâaouiya assassin" que ce rassemblement qui a réuni ODH, AVOMM, AJD/MR, Dekaaleem, s’est terminé. Ce mercredi matin, Touche pas ma Nationalité compte marcher jusqu’à la présidence de la République pour remettre une lettre à Mohamed Ould Abdel Aziz en vue de lui demander de "faire toute la lumière sur les atrocités qui ont frappé la communauté négro-mauritanienne", a indiqué Wane Abdoul Birane.

Babacar Baye Ndiaye



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dimanche 18 novembre 2012

Le R.P.C (réseau pour la promotion de la citoyenneté) lance une campagne de sensibilisation ...

19:43
Le R.P.C (réseau pour la promotion de la citoyenneté) lance une campagne de sensibilisation ...
...sur le rôle et la responsabilité des acteurs de la commune et la participation des citoyens, à la clé un livret communal comme support de d’information et vulgarisation des concepts de « décentralisation » et « développement local ». 

C’est dans les locaux de l’hôtel de ville de Bababé que s’est déroulé Ce mercredi, le lancement des premières journées de sensibilisation sur le rôle et la responsabilité de la commune et la participation des citoyens en vu de les amener à mieux appréhender cette nouvelle politique de décentralisation et de développement local.

Cette rencontre qui a regroupé plus d’une trentaine de femmes et d’hommes venus représenté des coopératives ou des O.N.G locales, a été marqué par la présence du représentant du hakem, du troisième adjoint au Maire de Bababé, du médecin chef de bababé ,des représentants des O.N.G Nationales et internationales comme l’A.M.D.H ; Monde III ;World Vision etc..

En effet, c’est Monsieur Amadou Bocar Ly président du réseau R.P.C local de Bababé, qu’est revenu de prendre la parole en premier pour souhaiter la bienvenue aux participants et aux autorités locales.

Il fera ensuite un bref rappel du réseau local de bababé qui dira-t-il s’est installé dans la commune en juin 2011 et regroupe une quinzaine d’associations issues des coopératives ou O.N.G locales. Cet accompagnement des acteurs locaux a pu voir le jour grâce à l’appui technique du réseau national R.P.C, sur financement de l’inter môn Oxfam (Junta).

Du coup, il poursuivra son monologue en disant que cette campagne de sensibilisation est venue renforcer l’efficacité de la participation citoyenne et la synergie devant liée la commune (pivot du développement local) et les populations de la dite commune. Ceci, après une série de formations visant à renforcer les capacités des membres des organisations des réseaux locaux dans des thèmes aussi riches et variés que la gouvernance administrative et financière ,la communication interne et externe, genre , leadership, montage des projets …

Toujours, dans le souci de mieux vulgariser et toucher le maximum de personnes à travers la commune que le réseau a décidé d’organiser cette caravane qui commencera ce jeudi et se terminera vers le mardi prochain.

Elle touchera ainsi dans la zone Est : Fondé Dierry, Wouro Dialaw, Hotiéré Thioubalel, Wan Wan, Bagdad.

Zone Ouest : Dioudé Dierry, Dioudé Dandé Maayo, Abary, Dounguel Dierry, Wouro Kossa.
Centre : Madina Bababé, Windé Niawooré 1et 2.

Les villages de darto Thioubalel, Naim, Maté Goum, seront visités ultérieurement compte tenu leur enclavement dû aux eaux de pluie. Enfin, le président du réseau local R.P.C de Bababé a terminé son exposé par un plaidoyer envers les organisations internationales basées dans la commune de Bababé pour un appui et un partenariat franc et sincère pour le renforcement de la dynamique autour du développement local de la commune.


Avec Cridem, comme si vous y étiez...










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mardi 13 novembre 2012

John McAfee, fondateur de la société anti-virus, recherché pour meurtre



17:19
John McAfee, fondateur de la société anti-virus, recherché pour meurtre
L'ex-patron de la société de sécurité informatique est recherché dans une affaire de meurtre à Bélize, où il réside depuis quatre ans. Il se cache de la police en affirmant qu'on veut le tuer.

Voilà pas mal d'années déjà que John McAfee a vendu la firme qui l'a rendu mondialement célèbre, et qui a assuré sa fortune. Son nom n'en reste pas moins toujours associé à la société McAfee, leader de la sécurité informatique. Mais aujourd'hui, c'est dans un tout autre contexte que l'ex-patron de la société anti-virus fait de nouveau parler de lui.

John McAfee est tout simplement recherché... dans une enquête pour meurtre. L'homme, aujourd'hui âgé de 67 ans, est installé depuis quatre ans à Ambergris Caye. Une petite île au large de Bélize, dans les Caraïbes, connue pour la plongée sous-marine, la pêche tropicale et qui a attiré une petite communauté d'expatriés américains.

Récemment, son voisin, lui-même américain, a été tué par balle. Originaire de Floride,Gregory Faull, 52 ans, avait été trouvé mort dimanche matin à son domicile par son employée de maison. Selon la police, il n'y avait pas trace d'effraction dans la maison, seuls un ordinateur portable et un téléphone cellulaire avaient disparu.

"Ils m'auraient tué s'ils m'avaient trouvé"

Le soir même de cette découverte, la police s'est présentée au domicile de McAfee pour l'interroger à propos de ce meurtre de son voisin. Selon le chef de la brigade contre le crime organisé, le suspect est tout simplement resté introuvable.

Alors que John McAfee est désormais officiellement recherché "pour homicide", l'ex-patron de la société anti-virus a déclaré au magazine américain Wired qu'au moment où les policiers arrivaient chez lui, il était en train de se cacher sur sa propriété. Enfoui dans le sable, avec une boîte en carton sur la tête pour pouvoir respirer. "C'était très inconfortable", a-t-il dit. "Mais ils m'auraient tué s'ils m'avaient trouvé".

Interrogé à propos des coups de feu qui ont tué Gregory FaullMcAfee a déclaré qu'il ne savait rien à part qu'on avait tiré sur son voisin. Le pionnier de l'industrie anti-virus a même ajouté qu'il était inquiet parce que les tueurs de Faull étaient à sa recherche. "Sous aucun prétexte je n'irais parler de mon plein gré à la police de ce pays", a-t-il affirmé. "Vous pouvez dire que je suis paranoïaque à ce sujet, mais ils veulent me tuer, c'est sûr. Ils essayent de m'avoir depuis des mois. Ils veulent me contraindre au silence. Je ne suis pas trop aimé par le Premier ministre."
Une conduite jugée bizarre par des résidents de l'île

Ce n'est pas la première marque de tension entre McAfee et la police locale. Il y a plusieurs mois déjà, les policiers béliziens avaient perquisitionné sa résidence à la recherche d'armes et de drogue, et ils l'avaient placé en garde à vue pendant plusieurs heures. A l'époque, McAfeeavait affirmé qu'il avait été arrêté parce qu'il refusait de faire une donation à un politicien local.

Mais des résidents de l'île, interrogés par le site internet Gizmodo, affirment pour leur part queFaull et McAfee avaient eu récemment un différend. Toujours d'après Gizmodo, le pionnier de la sécurité informatique avait une conduite de plus en plus bizarre et n'était pas bien intégré dans la communauté des expatriés. Il semblait aussi expérimenter des drogues psychoactives.



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vendredi 2 novembre 2012

Notre pays n’a pas de constitution


Notre pays n’a pas de constitution
Qu’on le veuille ou non, la balle, perdue ou non, du 13 Octobre 2012 a mis fin à la constitution de façade mise en place en 1991 par l’ancien Chef de l’Etat Mu’awiya Wul Sid’Ahmed Wul Taya’ et soutenue par une élite politique faute d’un mieux que cette dernière n’a jamais sérieusement cherché à imaginer.

La constitution continue, cependant, d’être évoquée par tous les acteurs politiques comme s’il s’agissait d’un document fondateur auquel tous sont attachés sans que personne n’est le courage de dire que le pays n’a tout simplement pas de constitution et qu’il est temps que les « forces vives » aient comme priorité d’un rédiger une suivant les règles communément admises et récemment suivies dans les pays arabes en transition vers la démocratie comme la Tunisie, l’Egypte et la Lybie.

Parce que le papier qui tient lieu de constitution a été rédigé à la seule fin de plaire au prince du moment, il a bien évidemment avalisé la situation de fait depuis l’indépendance que le Chef de l’Etat détient tous les pouvoirs mais a aussi omis le cas d’empêchement provisoire de celui-ci, un crime de lèse-majesté à son Omniprésence, que nos constitutionalistes attitrés ont malicieusement évité.

Aussi, Muhammad Wul ‘Abd al-‘Aziz, qu’on le veuille ou non, reste « constitutionnellement » le Président de la République, si république il y a, même s’il est cloitré quelque part dans un endroit inconnu, sans qu’on sache quand and comment il apparaitra de nouveau pour diriger à sa guise les affaires de « son Etat. » Cette situation ne semble pas déranger outre mesure les divers fondés de pouvoir public, à commencer par « la grande muette » dont la chaine de commandant ne parait pas souffrir de l’absence de son commandant en chef.

Les chefs militaires paraissent se suffire des ordres de leur chef d’état major, le GénéralMuhammad Wul al-Ghazwani qui devient de facto le commandant en chef des forces armées, un poste qui se confond dans l’entendement général avec celui de Chef de l’Etat. La rumeur ne s’y est pas probablement trompée en suggérant que le Général al-Ghazwaniassure de facto l’intérim du Chef de l’Etat, lui-même ancien Général, fondateur de ce conseil des Généraux, appelé Haut Conseil d’Etat, qui s’est substitué « constitutionnellement » au président sans grade militaire « accidentellement élu» dont la vacance a été forcée mini-militari.

Et ce n’est pas le réveil tardif de Mes’ud Wul Bulkeir qui s’accroche a un mandat périmé de député et de Président de l’Assemblée Nationale qui peut changer quelque chose a ce vide « non-constitutionnel »
. Il peut certes se prévaloir de sa « gazra » à la chambre basse pour faire du bruit mais il ne saisira pas le Conseil constitutionnel dont la jurisprudence a pourtant déjà constitutionalisé un coup d’Etat au nom de l’impossibilité de la vacance même momentané du pouvoir.

Mes’ud a obtenu sa part du gâteau et il tient désormais à cette stabilité de façade qui lui permet de se la couler douce au moment ou ses anciens amis continuent de subir les affres de l’opposition. D’ailleurs, même s’il s’oubli pour un moment dans ses délires d’ex-opposant et saisit le Conseil constitutionnel, Sghair Wul M’Bareck ne ratera pas l’occasion de rabrouer son ancien concurrent dans la mouvance al-Hur, à moins que l’inconnu détenteur réel du pouvoir ne lui ordonne autrement.

Mais qui est donc le détenteur réel du pouvoir? Les regards se tournent vers le Général al-Ghazwani qui assure de facto l’intérim de son ami et mentor depuis le coup du 6 Aout 2008. Mais l’intérimaire dans l’esprit des Mauritaniens n’hérite pas forcement le pouvoir du titulaire. Au contraire, il n’est la que pour gérer la routine en attendant que l’ordre revient a la normale. Il n’est, des lors, pas certain que le plus gradé de notre armée nationale ait les mains libres pour afficher un pouvoir quelconque. D’autres probablement le surveillent, prêts à contrecarrer son action s’il lui arrive de « faire le malin ».

Les soubresauts de Mes’ud et l’alerte au sein de la puissante coterie de ‘Aziz indiquent un émiettement, espérons momentané, du pouvoir du Chef de l’Etat. Des forces occultes s’observent en silence dont l’affrontement, jusque la contenu, risque de s’accentuer à mesure que dure la vacance du pouvoir présidentiel et qu’augmentent les incertitudes autour de retour présumé de son détenteur « constitutionnel ».

Et comme un malheur n’arrive jamais seul, cet équilibre informel et instable au sommet de l’Etat, se conjugue avec des mouvements de guerres aux frontières de notre pays qui sont porteurs de risques majeurs d’instabilité régionale et dont la Mauritanie ne peut s’en soustraire. Aussi Prions pour qu’’Aziz se rétablisse rapidement ou qu’un autre l’évince rapidement pour que notre pays retrouve sa normalité, en espérant, que la balle, perdue ou non, du 13 Octobre 2012 aura servi à éveiller la conscience sur les périls de gouverner sans prévoir.

Avec ‘Aziz ou pas, la classe politique devra méditer la leçon et engager, dans la sérénité, un dialogue sérieux pour un processus de reforme qui commence par la mise en place d’une constitution suivant les règles de l’art, s’inspirant des exemples récents des pays arabes en transition vers la démocratie : la désignation d’un gouvernement de consensus, l’élection d’une assemblée constituante, et la rédaction d’une constitution qui prend en charge les besoins réels de bonne gouvernance, au lieu de n’être qu’un papier qui légalise les abus de l’homme fort du moment et sa coterie.


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